L'industrie des croisières, connue pour sa contribution significative aux économies côtières et insulaires, navigue actuellement dans un paysage complexe d'incertitudes et d'incertitudes. nouvelles taxes gouvernementales et règlements. Alors que plusieurs pays cherchent à gérer l'impact sur l'environnement et la pression sur les infrastructures causée par l'augmentation du tourisme de croisière, l'introduction de ces mesures suscite des inquiétudes dans le secteur. A partir de Le Mexique La taxe sur les passagers a été réorganisée pour Hawaii's En raison de la structure fiscale controversée, ces développements annoncent un moment charnière pour les opérateurs de croisières et les régions qui dépendent fortement de leur mécénat. Les implications de ces politiques vont au-delà des ajustements financiers immédiats, et pourraient remodeler l'avenir des croisières.
L'industrie du tourisme de croisière, essentielle pour de nombreuses économies côtières et insulaires, est confrontée à d'importants défis en raison de l'introduction de nouvelles taxes et réglementations gouvernementales. Ces mesures visent à trouver un équilibre entre les avantages économiques du tourisme de croisière et la nécessité de gérer son impact sur les infrastructures locales et l'environnement. Alors que diverses régions du monde mettent en œuvre des changements, les acteurs du secteur s'inquiètent de la baisse potentielle du nombre de visiteurs et de ses répercussions économiques.
Le Mexique réduit la taxe sur les passagers
Les autorités fédérales mexicaines ont récemment conclu un accord avec plusieurs grandes compagnies de croisière concernant la taxe controversée sur les non-résidents (DNR). Initialement proposée à $42, cette taxe devait entrer en vigueur en janvier de cette année, ce qui a suscité les protestations de la Fédération des associations de croisières de Floride et des Caraïbes (FCAA/FCCA). L'association a fait valoir qu'une telle taxe pourrait entraver les investissements dans la région, en particulier dans des zones telles qu'Acapulco, qui a besoin d'efforts de reconstruction considérables.
À la suite de négociations, il a été décidé que la taxe serait plutôt fixée à un montant plus raisonnable de $5 à partir de juillet, avec des augmentations prévues pour atteindre $10 en 2026, $15 en 2027 et $21 en août 2028. Ce déploiement progressif vise à atténuer les conséquences négatives sur le tourisme, en particulier dans des destinations clés telles que Cozumel et Mahahual sur la Riviera Maya, où les entreprises locales ont déjà exprimé leurs inquiétudes quant aux pertes potentielles.
Taxe hawaïenne sur le temps passé à bord
Hawaï a introduit une taxe 11% sur les hébergements de passage, ciblant spécifiquement les croisiéristes en fonction du temps qu'ils passent à bord des navires dans les ports. En assimilant ces passagers à des clients d'hôtel, l'État cherche à s'assurer qu'ils contribuent aux infrastructures locales. Toutefois, cette manœuvre juridique soulève plusieurs questions, car la plupart des navires de croisière battent pavillon étranger et sont régis par des traités internationaux.
Le nœud du problème est de savoir si un État comme Hawaï peut taxer les passagers pour leur présence sur des navires immatriculés dans des territoires étrangers. Les experts en droit maritime estiment que cette nouvelle taxe pourrait être en contradiction avec les clauses sur le commerce des États-Unis et le commerce extérieur, ce qui pourrait donner lieu à de longs litiges. Les partisans de cette taxe affirment qu'elle est nécessaire pour financer les initiatives de développement durable, mais sa mise en œuvre risque de créer un paysage confus de réglementations étatiques individuelles.
Consultation de l'Écosse sur le prélèvement local
Le gouvernement écossais envisage d'autoriser les conseils locaux à imposer des taxes sur les navires de croisière dans le cadre d'une initiative plus large de taxation du tourisme. Une consultation publique est actuellement en cours dans le cadre de la loi sur les taxes sur les visiteurs (Visitor Levy Act), qui autorise certaines taxes sur les nuitées. Cette proposition trouve son origine dans l'augmentation du tourisme de croisière en Écosse, en particulier dans ses îles, où l'accroissement du nombre de touristes entraîne à la fois des avantages économiques et des contraintes en matière d'infrastructures.
Dans les Shetland, par exemple, les croisiéristes représentent une part importante du trafic touristique de la région. Toutefois, les avis sont partagés parmi les habitants quant à l'application d'une taxe. Si certains estiment qu'elle permettrait de financer les améliorations nécessaires des infrastructures, d'autres craignent qu'elle ne décourage le trafic de croisière, qui est vital pour les entreprises locales. Le conseil local des Shetland s'efforce de trouver un équilibre qui permette de répondre aux besoins des communautés locales sans compromettre l'attrait de la destination.
La taxe de séjour norvégienne exclut les croisières, pour l'instant
Le gouvernement norvégien a proposé un projet de loi qui permettrait aux municipalités de prélever une taxe de séjour de 3% sur les nuitées, bien que cette phase initiale exclue les croisiéristes. L'objectif est de répondre à la pression exercée sur les infrastructures dans les zones à forte fréquentation, en particulier lorsque le nombre de touristes augmente dans des endroits tels que les îles Lofoten.
Les critiques ont souligné qu'en omettant les touristes de croisière dans cette taxe initiale, le gouvernement évite de contribuer de manière significative aux pressions sur les infrastructures locales. Il semblerait que les législations futures envisagent une taxe distincte ciblant le tourisme de croisière, en particulier dans les régions où l'impact se fait le plus sentir.
Tendances mondiales en matière de réglementation des croisières
La tendance générale à l'introduction de nouvelles taxes et réglementations reflète une préoccupation croissante au niveau mondial quant à la durabilité du tourisme de croisière. Plusieurs destinations adoptent des mesures qui non seulement exigent des contributions financières de la part des croisiéristes, mais visent également à garantir que les économies locales puissent supporter la pression exercée par l'afflux de touristes.
Cette évolution du paysage réglementaire laisse entrevoir un avenir où le tourisme de croisière devra relever des défis de plus en plus complexes. Les acteurs du secteur devront collaborer avec les organismes publics pour trouver des solutions qui favorisent un tourisme solide tout en tenant compte des incidences sur l'environnement et les infrastructures liées à l'augmentation du nombre de visiteurs.
- Mexique : Réduction de la taxe DNR de $42 à $5 pour les croisiéristes afin de stimuler l'économie locale.
- Hawaï : La nouvelle taxe 11% sur les croisiéristes soulève des questions juridiques concernant la juridiction sur les navires battant pavillon étranger.
- Écosse : Consultation sur une taxe locale pour les bateaux de croisière afin de financer les infrastructures dans un contexte de croissance du tourisme.
- Norvège : Le projet de taxe de séjour pour les nuitées exclut les croisiéristes, ce qui met en lumière les futures réglementations potentielles.
- Floride et Caraïbes : L'opposition de la FCCA à l'augmentation des taxes fédérales, invoquant les risques pour les investissements touristiques au Mexique.
Les tourisme de croisière L'industrie de la pêche, cruciale pour de nombreuses destinations côtières et insulaires, fait l'objet d'une attention accrue de la part des gouvernements qui cherchent à gérer son impact sur les populations locales. l'infrastructure et le l'environnement. En conséquence, de nouvelles taxes et formalités sont introduites dans le monde entier, ce qui suscite des inquiétudes quant au fait que ces mesures pourraient décourager le tourisme et nuire aux économies locales. Par exemple, le Mexique a accepté de réduire considérablement sa taxe sur les passagers après des négociations avec les compagnies de croisière, tandis qu'Hawaï a introduit une taxe controversée sur le temps passé à bord des navires de croisière. De même, l'Écosse envisage de prélever une taxe locale sur les navires de croisière pour financer l'amélioration des infrastructures. Toutefois, comme de nombreuses compagnies de croisière opèrent sous pavillon étranger, les complexités juridiques entourant ces taxes persistent, ce qui soulève des questions quant à leur mise en œuvre et à leur impact potentiel sur le secteur.

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